lundi 28 mai 2012

Asie Europe


 2) Interviewés des entreprises japonaises

Selon lʼenquête comparant les nombres dʼheures de travail dans le monde en 1986, les heures supplémentaires par année, sont 229 en Japon, 172 en États-Unis, et 0 en France. 70% des Japonais déclarent quʼils ne veulent plus prendre de vacances, parce que leurs désirs sʼaccomplissent au sein de lʼentreprise.6


6 MAURY René, Les Patrons Japonais Parlent, Paris, Seuil, 1990, p. 43 - 44


Dans les réponses des interviewés, les caractéristiques des entreprises japonaises sont les suivantes : le système des contrats est plus stable, les heures supplémentaires sont rémunérées, la gestion assurée par les japonais, l'accent mis sur le développement personnel et la formation, le faible taux de rotation du personnel. En général, des avantages sociaux, en général, l'évaluation scientifique du travail.


Dans le passé, les entreprises japonaises préfèraient des contrats permanents ou des contrats d'emploi à long terme. Aujourd’hui, les entreprises japonaises sont en train de progressivement réduire la durée du contrat ; en Chine, après la réforme économique en 1978, les contrats sont généralement plus courts. Par conséquent, les interviewés ont déclaré que si les salariés chinois peuvent obtenir un contrat de trois années, ou même de cinq ans dans les entreprises japonaises, ce sont des emplois relativement stables. Nous pouvons trouver une relation parmi l’emploi stable, le développement personnel positif, et le faible taux de rotation du personnel. Les trois sont complètement liés.


Il y a aussi une relation entre la gestion assurée par les japonais et les heures supplémentaires rémunérées. Selon lʼenquête de l'OCDE en 2011, le temps de travail payé en Japon, en Corée, et en Chine sont toujours les plus longs du monde, et le temps au Japon est le plus long.7


7 Society at a Glance 2011 - OECD Social Indicators, 2011


Plus que dans la culture nationale, la raison est dans le système des salaires. Les interviewés ont dit que dans les entreprises japonaises, environ un tiers  du salaire  provient des heures
supplémentaires, donc la fraude aux heures supplémentaires est répandue. La fraude est que délibérément, les employés ne terminent pas leur travail dans une période de temps déterminée (quarante heures) et demandent à compléter la tâche dans le temps supplémentaire. Bien sur, dans l’entreprise japonaise, ce temps supplémentaire est rémunéré. .

Sur le sentiment au travail. Nos interviewés nous disent :


a) Le plaisir. Le temps du contrat n'est pas très long. Mais, quand l'économie est mauvaise, les entreprises japonaises ne coupent pas dans les effectifs des employés : cela leur donne du plaisir. Un autre plaisir est apporté par une bonne formation de personnel et des possibilités d'apprentissage..


b) La douleur. La fatigue est fréquente., Ce nʼest pas la fatigue physique, mais psychologique. Les longues heures de travail en sont la principale raison. La culture japonaise est aussi une cause de souffrance . Dans cette culture, lʼinférieur et le jeune doivent se subordonner totalement au supérieur et au senior, donc la communication interpersonnelle dans l'entreprise est une activité très risquée.



c) Le dégoût. Le formalisme est associé avec l'hypocrisie et la répression culturelle. La forme des rapports de travail, vise à satisfaire l'inspection. En outre, comme les japonais ne croient pas les chinois / n’ont pas de confiance/, pour les Chinois il est presque impossible d'entrer dans l’encadrement. Donc, fondamentalement, il n'y a pas de développement de carrière possible.



d) La résistance. Les interviewés ont indiqué que selon la culture des entreprises japonaises, il est interdit pour le personnel de poser des questions à des niveaux plus élevés. Les
interviewés ont également indiqué qu’ils nʼont pas de résistance. Parce que ils ont passé beaucoup de temps à apprendre le japonais, et que les compétences acquises dans les entreprises japonaises n’ont pas d'utilisation ailleurs, les interviewés pensent qu'ils n'ont pas assez de compétences pour travailler dans des entreprises d'autres pays, et même dans les entreprises chinoises.


3) Interviewés des entreprises sud-coréennes


Selon les interviewés, la culture de lʼentreprise sud-coréenne est la même que la culture des entreprises japonaises, bien que la source peut être différente. Deux différences évidentes sont que, selon les interviewés, les entreprises sud-coréennes ont une culture très répressive, ce qui entraine un taux élevé de rotation du personnel. En outre, les interviewés ont attribué la pression à la militarisation de la gestion des entreprises
coréennes. Cette pression, Ray, Homme, 24, spécialiste du business, la décrit ainsi :

Dans les entreprises coréennes du sud, il faut aller en Corée du Sud la première année de formation pour apprendre la culture coréenne et le langage coréen. Les grands entreprises coréennes sont toutes comme ça, tels que Samsung, Lotte, etc. Dans Samsung et SK, on peut parler l'anglais, mais dans d'autres il faut parler le coréen au bureau. Les employés étrangers doivent signer un accord : s'il quitte le travail avant quelques années, il faut rembourser à l'entreprise le coût de la formation.


Dans les entreprises sud-coréennes, il est nécessaire d'obéir sur tout. Il faut écouter totalement les superviseurs, écouter les anciens. Les coréens attachent une grande importance à l'âge. Est « un ancien » une personne âgée un an de plus que vous. Le travail ici est identique au mode de vie militaire, par exemple, sur le lieu de travail, n’importe où le cadre nous affecte, on doit obéir. Même les salariés âgés de soixante ans, l’entreprise n’écoute pas leur
opinion personnelle. Aucune négociation n’est possible entre le cadre et le personnel.

Les entreprises coréennes ne comprennent pas les demandes des employés chinois. Elle recrutent des diplômés de qualité, mais il n'y a pas de planification de développement du personnel claire. Le stagiaire ici est aveugle. Cela rend les employés se sentent la panique, car on ne sait pas quand elle nous licenciera.


La planification de développement du personnel est souvent changée, ou on nous dit que il n’y a pas de plan. Les nouveaux
employés travaillent comme des outils, ils n’augmentent pas leur valeur technique. Les gestionnaires de la Corée du Sud ne veulent pas écouter ou répondre ou négocier avec les employés, spécialement pour les employés de sexe masculin.

Par conséquent, le cadre est humiliant envers l’employé, par exemple ils déchirent souvent votre dossier de plan en face de vous, ils humilient les et maudissent les gens devant les autres. Les employés coréens aussi n’aiment pas être traités de cette manière, mais il n’y a pas le choix. De plus, tous les Coréens (les hommes) ont été obligatoirement soldat dans l'armée, ils ont déjà l’habitude de ces traitements cruels. Les femmes ici ne sont pas respectés plus, il leur est impossible d’avoir de la promotion. Egalement, , il y a beaucoup de harcèlement sexuel envers les femmes.


En plus de l'accent mis sur l'obéissance, l’entreprise exige
également la loyauté et le fanatisme des employés. En général, il y a de pas de rémunération pour des heures supplémentaires, mais les employés doivent  être en place tôt et partir tard bénévolement, pour faire preuve de loyauté envers l'entreprise. Chaque jour on doit fait plus une heure hors les heures de travail requises. Il est une caractéristique des sociétés coréennes: les Coréens sont désespérés ! ! Par exemple, quand il y a un plan demandé par les supérieurs, les Coréens feront cinquante ou cent sortes de programmes, beaucoup plus que les Chinois. Même si des programmes de divertissement sont prévus pour le week- end, les Coréens feront des dizaines de plans, mais les Chinois en feront seulement trois ou cinq.

La vie dans la société coréenne est comme dans la caserne, parce que les entreprises exigent une vie organisé de façon collective. Les relations interpersonnelles dans la plupart des cas, sont très rigides, comme pour les militaires. Les personnes qui entrent la même année sont appelés à la même période , les gens de la même période sont égaux, il y a des sentiments occasionnels comme entre camarades. Mais la période ancienne fait la répression sur la génération des jeunes, un peu comme à l'armée. Ce n'est pas une intimidation intentionnelle, mais c’est naturel de réquisitionner la jeune génération. Le bureau est mauvais aussi, trois ou quatre cents personnes dans une salle. Presque personne ne parle, car il y a un sentiment d'être observé à tout moment. Les places du personnel sont également en conformité avec le niveau occupé dans l’entreprise, le chef d'équipe est assis à l'avant des autres. La vie collective est la suivante: dans l'entreprise sud-coréenne, ils pensent que faire les heures supplémentaires et boire la boisson font partie du travail. Il y a quelques années, souvent on a travaillé des heures supplémentaires jusqu’à deux ou trois heures du matin, puis il fallait aller à boire trois fois de suite (dans trois bistrots) par nuit avec les collègues coréens, si non on se moquait de vous. Tout les jours il fallait boire jusqu’à trois ou quatre heure du matin, et après commencer le travail à neuf heures du matin. Quatre-vingt dix pour cent des jours par mois était comme ça. Maintenant un peu moins, (boire) deux ou trois fois par mois. Cela s’appelle « Manger Ensemble », parce que la société paie pour la nourriture et le poisson, il y a une disponibilité des fonds pour ça.


En outre, il y a une discrimination de la nationalité. Les travailleurs
étrangers ont des revenus moindres que les employés coréens. Pour le même travail, le salaire de base des travailleurs étrangers n'est que la moitié du salaire des travailleurs coréens. En outre, les Coréens ont des gratifications chaque mois, mais les Chinois n'enont pas. L'inégalité sur le poste, sur le salaire entre les employés coréens et les employés étrangers me rend malheureux.


4) Vécus et sentiments collectifs



Les vécus similaires de travailleurs étrangers dans les sociétés asiatiques sont:


a) Des patrons et des cadres brutaux avec une culture d'entreprise hiérarchique : le personnel ne se sent pas respecté.


b) Les travailleurs étrangers n'obtiennent pas de confiance, alors ils sont limités dans les accès aux postes aux revenus et aux emplois.


Au travail, les travailleurs étrangers ne sentent pas particulièrement un plaisir évident ; au contraire, ils ressentent plus de douleur et de dégoût. Et ils développent peu de résistances.



Interviewés des entreprises européennes


Depuis 2007, les entreprises des 27 pays de UE ont établi en Chine chaque année plus de 1.000 filiales ; elles ont investis plus de cinq milliards US $ d'IDE en Chine. En 2008, 76% des entreprises en Chine ont au moins passé le seuil de rentabilité. Plus de 80% des entreprises européennes ont déclaré développer leurs affaires et entrer sur le marché de consommation en Chine ; 60% des entreprises ont déclaré que le développement sur le marché des produits et des services en Chine était une raison stratégique importante ; cette opinion


était 10% de plus que lʼannée dernière. Seulement 7% des entreprises ont pris en considération la valeur des faibles coûts de production.8
8 Lʼenquête de confiance des entreprises 2007, la Chambre de commerce européenne, 2007
 
Ainsi, cette analyse consacre des entretiens avec les salariés des entreprises suisse, françaises, italienne, espagnole, suédoise qui sont en Chine, ou résidant en Europe, afin ce connaitre leur vécus des affaires et leur sentiment au travail.



1) Interviewé dʼune entreprise suisse


Lʼinterviewée dit que son entreprise suisse, une multinationale, privilégie
l'intensité du travail,. Elle décrit ainsi son expérience de travail :
Bien que l'employeur est l'origine suisse, le quartier général est situé aux États-Unis. Vous ne pouvez pas dire qu'elle est une entreprise suisse ou une entreprise des États-Unis, particulièrement car ce qui est dans
le marché des capitaux des Etats-Unis. Pour les heures de travail par semaine, c’est relativement normal, environ 50 heures par semaine, avec 9-18 heure par jours, et des heures supplémentaires occasionnelles. A mon niveau je peux déjà choisir de ne pas faire des heures supplémentaires. Mais avant, une fois, un projet important m’a coûté 80 heures par semaine, et c’était une époque occupée, j’ai travaillé sept jours par semaine, finissant à 22:00 pour tous les jours. Même à la Saint-Valentin, j’ai été en prolongation, ne quittant pas l'entreprise de la nuit, pour continuer faire mon travail. Mais je ne veux plus faire du travail trop tard, Trop de travail me rend fatigué. Comme expérience du passé, j'ai travaillé chez AT&T. Le revenu est élevé là-bas, très bon, J’ai quitté pour des raisons personnelles, en fait, j’ai aimé quelqu’un. J’ai travaillé aussi chez China Netcom, c’est confus là-bas, car c’est en restructuration. La promotion est seulement disponible pour les membres du parti communiste, c'est ennuyeux. J’ai quitté. Je pense que l’entreprise américaine est mieux, car elle fait les choses selon un plan. Mais la société italienne n'est pas bonne ! ! ! J'ai aussi passé du temps dans une société italienne. Le patron décide de toutes les choses sur un coup de tête, ou à la suite d’une discussion, sans respecter le calendrier ou le plan.



2) Interviewés des entreprises françaises


Les entreprises françaises donne aux interviewés un vécu similaire: le système de gestion n'est pas moderne, et les réponses au personnel ne sont pas justes. Par exemple, un interviewé déclare:


Il n’y a pas beaucoup des heures supplémentaires, qui se font à telle ou telle occasion. Les insuffisances d’entreprise française sont nombreuses, le système n’est pas transparent, les collègues français sont très arrogant, le milieu de travail n'est pas bon, le patron n'est pas bon, etc. En particulier, la gestion du personnel est non-transparente, et les bénéfices des sociétés ne sont pas partagés avec le personnel. Le développement de carrière n'est pas transparent, par exemple, le calcul de KPI n'est pas clair, nous ne savons pas quand nous pouvons avoir une promotion. Il n'y a pas de hiérarchie des postes claire, et la structure organisationnelle n'est pas claire. L'évaluation du rendement des employés est trop générale, est trop vague, deux fois par an. En plus, il n’y pas de relation entre l’augmentation salariale et l'évaluation! Il semble que l'évaluation est seulement formaliste. L'évaluation n'a pas de sens. Nous avons également un très fort taux de rotation ici : de nombreux collègues sont partis parce qu’ils n’avaient pas pu avoir une augmentation de salaire et une promotion après plusieurs années de travail.


Un autre interviewé déclare :


Selon moi, si on fait une comparaison avec les entreprises américaines Je pense que les entreprises françaises, si on fait une composition avec les entreprises américaines, les mauvaise places ont une mauvaise « place » (note). Tout d'abord, l’entreprise française est un peu comme les la chinoise, il y a beaucoup d’importance est donnée à la relation et le au facteur interpersonnel, et ils sont souvent plus importants que le résultat de travail. Bien que le même phénomène existe dans certaines d'autres entreprises, mais il est plus visible dans les société françaises. En second lieu, l'efficacité de l’entreprise française est pire que celle des entreprises des
États-Unis. Peut être parce que cela s’explique par le mode de communication, car dans les entreprises américaines on communique plus directement, mais alors que dans les entreprises françaises, la communication dépend souvent des relations interpersonnelles, ce qui parfois en réduit l’efficacité. Troisième lieu, la société française est parfois très machinale et routinière, pas très flexible. Pour les bons cotés, j'aime le goût esthétique des Français et l’importance donnée à la qualité du du produit, mais probablement en raison de relations industrielles, dans mon industrie, les produits français sont plus raffinés que produit des États-Unis.


3) Interviewé dʼune entreprise italienne


De cet entretien, il apparaitrait que dans l’entreprise italienne, ainsi que dans d’autres entreprises européennes, la direction est lâche, ou que les normes de gestion moderne manque L’interviewée raconte :


Pour la plus grande société italienne de vêtements, je suis allé étudier en Italie pendant 5 ans un système de logistique qui devait être intégralement copié sur le continent asiatique. Les Italiens pensaient que c'est un système très efficace, mais je pensais personnellement qu’ il était nettement moins bon que les systèmes des États-Unis et du Japon, donc je pense que ce était pas la peine de l'étudier pendant cinq ans. J’ai essayé d'avoir une communication, mais cela a échoué, les italiens continuaient de penser que la valeur du système demandait 5 ans d d'apprentissage. Au final,  j’ai démissionné.
J'ai contacté de nombreux pays d'Europe. entreprises européennes et les entreprises chinoises sont plus proches de l'examiner de façon sérieuse, en effet, dans le relativement lâche; français, grec, les entreprises italiennes, avec la Chine la différence n'est pas grande. Dans les entreprises européennes le travail est bon, meilleur que dans les entreprises chinoises. Dans les entreprises nord-américaines, le travail semble plus détendu et agréable, à de l'intérieur, la concurrence est intense, la volonté individuelle est très importante. Bien que j'apprécie ce genre de compétition, je n’y suis pas adapté, je pense avoir été adapté pour les entreprises européennes et chinoises.


4) Interviewé dʼune entreprise espagnole


Lʼinterviewée indique que le plan de travail de la société espagnole est relativement simple, et que le rythme de travail nʼest pas rapide, donc il nʼy a pas beaucoup de pression. Elle dit:


Notre environnement humain, dans l'ensemble, est bien. Il y a le voyage de business en Espagne chaque année, mais il n’est pas fatiguant, alors je l'aime bien. ... Le rythme de travail n’est très intense je pense. Généralement, le patron nous donne une tâche et on la fait. Il n'y a pas le contenu du travail fixe, il n'y a pas de plan annuel aussi. La tâche n'est pas très importante, ça va. Parfois il y a trop beaucoup de travail, vous pouvez parler au patron, et le délai de réalisation peut être retardé.
Il y a très peu de promotion., Mais le revenu a augmenté une fois. L’ augmentation dépend du le patron, il n'existe aucun système., Si la performance est bonne, le patron vous donnera une augmentation. Son taux n'est pas de beaucoup, mais le salaire n'est pas mauvais. Comme si, comme ça. Il n’y pas beaucoup de vacances. L'employé espagnol peut être en vacance pendant longtemps l’été, mais nous ne pouvons pas. Cela est malheureux, et très injuste. Mais quand les cadres sont en vacances, nous n'avons pas beaucoup de travail en fait. Ce soit la période le plus libre dans le travail.


5) Interviewée dʼentreprise suédoise


Lʼinterviewée dʼentreprise suédoise se sent tout à fait positive, surtout pour lʼorganisation et sa mise en œuvre. Elle a dit comme ci-dessous:


Les Suédois sont très bien à ensemble, ils sont plus attentifs aux
étrangers. Les Suédois je trouve que leurs caractères sont plus simples, même si le niveau culturel n'est pas élevé, c'est relativement facile d’être ensemble. La culture d'entreprise ici est calme. La direction de la société est également plus humaine, par exemple, l'entreprise paie pour le dîner ensemble, pour le gâteau, pour l'exposition d’art, pour le jeu de sport, et plus encore. L’entreprise n'a pas un appareil à carte (pour vérifier votre temps de travail). Alors je suis très aise, je doit faire le travail entre 10 heure à 14 heure, et les autres heures sont libre au choix, tôt ou tard, et vous pouvez faire à la maison si vous voulez. Les tâches sont négociables. Si on a fini les tâche, le reste est libre. Nous avons ici les pauses-café obligatoire, tous les matin et tous les après-midi, et on n’a pas l’autorisation à travailler, tout le monde reste. C’est une relaxation complète. Les Suédois ne se pressent pas de faire des tâches, mais ils ne font pas traîner les choses, ils assurent le plan et font le suivi.

Après le démarrage de travail, la loi donne comme règle de donner une augmentation la deuxième année. J’était un nouvel employé et, bien qu'étant un étranger, le patron ne m’a pas trompé. Et on a beaucoup de vacance, 6 semaines dans l'été.


Il faut tenir compte tenu du fait que l'interviewé travaille en Suède et les lois sont différentes en Chine. Donc, les opinions sur la croissance du revenu et les vacances ne peuvent pas être mises de comparaison avec les opinions d'autres interviewés.

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